Jean-Jacques Goldman

 

Jean-Jacques Goldman est un artiste reconnu sur la scène française.

De « The Red Mountain Gospellers », à « Taï Phong, en passant par « Fredericks-Goldman-Jones », Jean-Jacques Goldman ne marche pas aussi seul qu’il le prétend…
Jean-Jacques Goldman est dans le cœur des Français depuis plus de quarante ans.

« Des bouts de moi », « A nos actes manqués », « Il suffira d’un signe », « Quand tu danses », « Nos mains », « Pas toi », « Envole-moi », « Là-bas », « Rouge », « Au bout de mes rêves », « Né en 17 à Leidenstadt »…

Que de succès musicaux, à tout jamais, dans la mémoire collective !

Pas étonnant que Jean-Jacques Goldman soit reconnu, dans le métier, comme un travailleur acharné : « Plutôt que de rêver, de fantasmer, je préfère mesurer la distance qu’il y a entre ma situation et l’objet de mes désirs. Ensuite, j’essaie de la franchir (…) quel que soit le travail (…) pour y arriver » (p. 115).
Jean-Jacques Goldman est également un auteur/ compositeur confirmé. Il écrit pour de nombreux artistes : Céline Dion, Patricia Kaas, Johnny Hallyday, Garou, Maurane, Calogero, Florent Pagny, Gérald De Palmas, Marc Lavoine, Joe Cocker ou encore Patrick Fiori.
Mais qui est-il dans la vie ?
Jean-Jacques est-il aussi discret qu’en apparence ?
Très marqué par la perte de son frère, discret sur sa vie amoureuse et familiale, Jean-Jacques utilise la musique comme un langage particulier, une lumière dans son parcours teinté de « gris clair » et de « gris foncé ».

Loin des « beaux discours et des grandes théories », il s’efforce, au quotidien, d’aider ceux qui sont dans le besoin.
Sa famille, originaire de Pologne par son père et d’Allemagne par sa mère, a connu des temps difficiles en s’installant en France. Malgré cela, la France est restée pour la famille Goldman une terre d’accueil où l’on valorise les valeurs d’amitié, de générosité, d’altruisme, de fraternité et de vivre ensemble.
Goldman est un homme attaché à ses racines. « Chez les Goldman, on se plaît aussi à revendiquer une identité juive et, fidèle à sa culture, à continuer de parler le yiddish (…) il s’agit de transmettre aux enfants l’enseignement d’un mode de vie ; d’un vecteur d’ouverture et de partage » (p. 41).
Les chansons de Jean-Jacques Goldman sont l’expression des « vœux, des espoirs, des ambitions, des rêves, des joies et des peines » (p. 279). Elles lui permettent de communier avec un public fidèle et de s’investir dans des actions caritatives (Vendanges du Cœur, Enfoirés, Restos du Cœur, Ensemble contre le sida, Sol en Si, Solidarité Inondations, Amnesty International…)
Mais au-delà de toutes les « différences qui sont autant de chances », Goldman cherche avant tout à s’affranchir de la solitude. Goldman a une « tendresse pour les faibles » (p.38) Aussi, il écrit des chansons qui rendent hommage aux « petites gens » et « à cette France choisie » par ses parents. Goldman écrit pour ceux qui « ont froid » et qui combattent pour « la justice et l’égalité des chances » (p. 229). Ses fans Français lui en sont reconnaissants…
Un bel hommage !

 

@Noé On The Road
Jean-Jacques Goldman, Frédéric Quinonero, Vivre sa vie, Biographie City, tarifs variables selon le format, 18E50

 

 

5 commentaires

  1. Je suis très flattée et vous en remercie…
    A bientôt sur nos pages (ou sur les votres) pour d’autres aventures biographiques !

  2. Je découvre seulement aujourd’hui votre belle critique, et vous en remercie.
    Cordialement,
    Frédéric Quinonero.

  3. Frédéric Quinonero est l’auteur du livre. Il est dans les étiquettes, en fin d’article, sur la page de couverture…;-)

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